Kos
Kos Island: Immigration versus Tourism
In Kos island, tourists that come back from nightclubs in the early hours step into immigrants boats arriving from Turkish coast 3,5 miles away.
During the day immigrants stroll around the city waiting for their papers to be processed by the police. They rent bikes, sit around the port and take selfies as they feel they have reached a safe place. The only thing they don’t do is swim as most of them are traumatised from the crossing on the boat during night.
Unhcr issued a report that immigration flow has grown 400% since last year in the islands. They count 31.000 people from the beginning of the year, whereas last year only 3.000 had passed the whole year.
Maria, petite fille Syrienne vient d'arriver avec sa famille sur l'ile de Kos. Leur barque gonflable a commence a prendre l'eau quand les guardes cotes sont venus au secours des quelques familles de Syriens et Kurdes qui traversaient les 2.5 miles nautiques qui separent la Turquie de la Grece.
Un groupe d'Afghans (une vingtaine) débarque à l'aube sur les plages de Kos. Ahmet est tellement content qu'il lance son fils en l'air. Toutes les nuits, entre 100 et 500 immigrés traversent les cinq kilomètres qui séparent Bodrum, le saint Tropez turc, de la Grèce, échouant sur les sables de Kos. Ils voyagent en famille et veulent aller en Allemagne.
Refugie marche dans la cour de l'hotel Captain Elias. Les réfugiés sont logés au Captain Hotel, un établissement abandonné depuis 20 ans qui a réouvert ses portes en avril, pour faire face à l’afflux des migrants. Ils sont aujourd'hui des centaines à s'entasser dans cet édifice délabré, qui a pris feu au mois de mai sans compter de victimes.
Des Syriens discutent dans la cour de l'Hotel Marie. Ils se paient une place à 15 euros la nuit car ils préfèrent dormir là que dans le centre d'accueil, qui est dans de très mauvaises conditions. Le type à casquette de dos s'appelle Hisham, c'est un jeune Syrien qui explique qu'ici c'est "déjà bien mieux qu'au Captain Hotel, où ne restent que les plus miséreux".
Des touristes allemands viennent a l'hotel Captain Elias pour aider les refugies en distribuant de l'eau et de la nourriture. Les réfugiés sont logés au Captain Hotel, un établissement abandonné depuis 20 ans qui a réouvert ses portes en avril, pour faire face à l’afflux des migrants. Ils sont aujourd'hui des centaines à s'entasser dans cet édifice délabré.
Des touristes allemands viennent a l'hotel Captain Elias pour aider les refugies en distribuant de l'eau et de la nourriture. Les réfugiés sont logés au Captain Hotel, un établissement abandonné depuis 20 ans qui a réouvert ses portes en avril, pour faire face à l’afflux des migrants. Ils sont aujourd'hui des centaines à s'entasser dans cet édifice délabré.
Des touristes anglais viennent a l'hotel Captain Elias pour aider les refugies en distribuant de l'eau et de la nourriture. Les réfugiés sont logés au Captain Hotel, un établissement abandonné depuis 20 ans qui a réouvert ses portes en avril, pour faire face à l’afflux des migrants. Ils sont aujourd'hui des centaines à s'entasser dans cet édifice délabré.
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